| Modifié le le 25 mai 2021
En matière de jeux de plateau, je suis plutôt ameritrash. Pour moi, un bon jeu doit être capable d'offrir un voyage en première classe à l'imaginaire, et tant pis si cela se fait au prix d'une certaine imprécision et d'une grande place laissée au hasard. C'est pourquoi mes némésis sont les amateurs d'eurogames, avec leurs calculs à rallonge, leurs petits cubes en bois moches et qui s'éclatent en sortant à d'autres joueurs : « Eh oui, il n'y a plus d'uranium dans la réserve du Kazakhstan ! On fait moins le malin, hein ? » Eh bien, The River m'a prouvé que j'avais tort.