La réduction des bordures permet à l’écran de passer de 7 pouces sur le modèle LCD (en haut) à 7,4 pouces sur le modèle OLED (en bas). La différence n’est pas insignifiante. (© Valve)
L’assemblage est désormais assuré par des vis Torx T6 emmanchées dans des inserts en métal, plutôt que directement dans le plastique. Le démontage est donc bien moins risqué.
Astuce : en HDR, régler la luminosité à 75 % donne l’image la plus fidèle, suivant au plus proche la courbe EOTF « PQ » de référence.
Énorme bonbon pour les gros nerds du HDR tels que moi-même : Steam OS propose des outils de visualisation en temps réel (histogramme, heatmaps…) permettant d’analyser l’étalonnage de chaque jeu.
Ori and the Will of the Wisps à 90 i/s en HDR sur Steam Deck OLED : un bonheur de tous les instants, et la heatmat de luminance est là pour le prouver. (© Microsoft)
La séance de jeu les pieds dans l’eau, qu’on soit bien d’accord, c’est à vos risques et périls. (© Valve)
Processeur : AMD Van Gogh
Mémoire : 16 Go LPDDR5, 6400 MHz
Stockage : 512 Go ou 1 To (SSD PCIe Gen 3×4)
Écran : 1280 × 800 7,4 pouces, 90 Hz, OLED
Date de sortie : 16 novembre 2023
Prix : 569 € (modèle 512 Go), 679 € (modèle 1 To)
Petit rappel essentiel pour les deux du fond qui suivent pas : le Steam Deck, c’est le mini-PC en forme de console de jeu portable lancé par Valve en février 2022, avec pour but de rendre nomade la quasi-totalité du catalogue Steam. Ça, vous le savez déjà si vous avez lu notre premier test de la machine publié à l’époque, et encore plus si vous avez jeté un œil au cahier entier que nous lui avions consacré il y a tout juste un an, dans Canard PC Hardware n° 55. Que voulez-vous, on pensait vraiment que c’était le bon moment pour le faire. Pour notre défense, nous faisions simplement confiance aux représentants de Valve, qui nous juraient alors la main sur le cœur que « non non, promis, on ne lancera pas un Steam Deck de nouvelle génération avant plusieurs années ». Bon, techniquement, ce n’était pas un mensonge. Mais reconnaissez que la porte ouverte à ce modèle refresh était sacrément bien planquée entre les lignes.
Tout ça pour dire que même si je n’avais pas encore l’honneur de travailler pour CPC Hardware à cette époque, je ne peux ignorer le passif qui existe entre le magazine et le Steam Deck. Mon très estimé prédécesseur Dandu, qui s’était chargé du test initial, n’avait pas fait mystère du scepticisme profond que lui inspirait la machine. Là où ça tombe bien, c’est que quand bien même mon propre avis n’était pas aussi sévère que le sien, je n’étais que peu emballé par l’engin, dont les limitations et les faiblesses étaient trop marquées pour que je puisse avoir envie de l’utiliser au quotidien. Alors maintenant, le grand défi que je vais devoir relever, c’est de réussir à vous expliquer pourquoi il a suffi d’un nouveau modèle OLED pour que je retourne complètement ma veste, et me range désormais sans la moindre hésitation du côté des convaincus. Et pour cela, la meilleure chose à faire est de commencer par évoquer tout ce qui a changé autour de l’écran – et c’est beaucoup plus qu’on ne pourrait le croire.

Faire beaucoup avec peu.

Si l’on accepte de ne pas appeler le Steam Deck OLED un « Steam Deck 2 », ce n’est pas seulement parce que son apparence externe n’a presque pas changé, c’est surtout parce que le cerveau de la machine ne connaît aucune évolution de ses specs et de sa puissance de calcul. C’est bien toujours l’APU Van Gogh conçu par AMD en partenariat avec Valve qui anime la bête, avec ses 4 cœurs CPU Zen 2 et ses 8 unités graphiques RDNA 2. Il résiste donc à l’appel de la nouveauté, même face à la concurrence des machines à base de Ryzen Z1 Extreme sur architecture Zen 4/RDNA 3, Asus ROG Ally en tête (on y reviendra). Seul mini-changement à noter : les 16 Go de mémoire vive LPDDR5 sont désormais cadencés à 6400 MHz au lieu de 5500. On trouve bien quelques rares cas de jeux où cela éradique quelques saccades isolées, mais ce n’est rien qui sort de l’anecdotique. Pour autant, ça ne veut pas dire non plus que rien ne change du côté du silicium. Le process TSMC 7 nm est troqué contre du 6 nm, ce qui signifie une puce un peu plus petite, qui consomme et chauffe moins. Oh, pas de beaucoup, la différence est de l’ordre de 2 ou 3 W en pleine charge. Mais sur une puce au TDP de 15 W, c’est déjà significatif.

Par ailleurs, puisque la dalle OLED est plus fine que la dalle LCD du modèle original, cela laisse plus de place dans les entrailles de la bestiole pour d’autres composants, et notamment deux : la batterie et le ventilateur. La première passe d’une capacité de 40 Wh à 50 Wh ; le second prend simplement un peu d’épaisseur, ce qui lui permet de déplacer plus d’air en tournant moins vite. Combiné à l’appétit réduit de l’APU, cela fait du Steam Deck OLED une machine significativement plus autonome et moins bruyante que son prédécesseur. Sur les jeux les plus énergivores et avec le processeur complètement débridé, alors que le modèle LCD tombait en rade au bout d’1 heure 20, on peut désormais compter sur une bonne heure supplémentaire ; en prenant juste un peu de temps pour régler les limites de frame rate et de puissance de l’APU, on atteint au moins 3 heures sur la quasi-totalité des jeux. S’agissant du bruit, on n’est toujours pas dans le registre de l’inaudible, mais la ventilation est tout de même largement plus discrète que celle du modèle LCD. L’air de rien, ce sont donc déjà deux des plus gros défauts dudit modèle LCD qui sont corrigés.
La réduction des bordures permet à l’écran de passer de 7 pouces sur le modèle LCD (en haut) à 7,4 pouces sur le modèle OLED (en bas). La différence n’est pas insignifiante. (© Valve)
L’assemblage est désormais assuré par des vis Torx T6 emmanchées dans des inserts en métal, plutôt que directement dans le plastique. Le démontage est donc bien moins risqué.

Comment ça, ça monte pas de prix ?!

On serait presque choqué de voir ce genre de comportement dans notre économie, mais Valve ne profite même pas du lancement du Steam Deck OLED pour augmenter significativement le prix de sa machine portable. Le modèle 512 Go s’échange contre 569 €, seulement 20 € de plus que ce qu’il fallait précédemment dépenser pour le modèle LCD 256 Go. Quant au modèle OLED 1 To, il remplace le modèle LCD 512 Go exactement au même prix (679 €).

Enfin, l’offre d’entrée de gamme à 419 € reste un modèle LCD, mais embarquant un SSD de 256 Go, au lieu de 64 Go d’eMMC précédemment. C’est une belle évolution, mais il va sans dire qu’on vous le déconseille tout de même fortement : les évolutions du Steam Deck OLED méritent très largement les 150 € supplémentaires si l’on peut se permettre de les investir.

Les évolutions du Steam Deck OLED méritent très largement les 150 € supplémentaires si l’on peut se permettre de les investir.

Alchimie organique.

Mais on ne va pas tourner autour du pot : oui, c’est bien ce nouvel écran OLED qui est la star du spectacle, ne serait-ce que parce qu’il remplace l’écran LCD extrêmement médiocre du modèle de lancement. Son problème n’était pas tant sa définition, qui reste de toute façon inchangée sur le nouveau modèle (1280 × 800, ce n’est pas le grand luxe, mais c’est parfaitement acceptable pour du jeu sur portable), que sa colorimétrie franchement défaillante, aux teintes désespérément fades, ternes. Avec le passage à des diodes organiques, on pouvait déjà être à peu près certain que ce serait beaucoup mieux. Cela dit, on ne s’attendait pas pour autant à ce que ce soit à ce point mieux.

On ne parle même pas seulement de la qualité de l’écran d’un point de vue purement matériel. Un appareil nomade avec un écran OLED de qualité, ce n’est pas rare de nos jours, c’est même devenu la norme – même la Nintendo Switch s’y est mise, c’est dire. Mais ensuite, il faut savoir l’exploiter. Et c’est là que le miracle s’accomplit, parce que c’est là que porte ses fruits le travail colossal réalisé par les équipes de Valve, depuis plus d’un an, pour faire progresser à pas de géant la prise en charge du HDR sur Linux (parce que oui, est-il nécessaire de le rappeler : le Steam Deck fait tourner Steam OS, une version modifiée de la distribution Arch Linux, au-dessus de laquelle les jeux Windows fonctionnent à travers la couche de compatibilité Proton – relisez donc notre dossier consacré au jeu sur Linux dans CPC Hardware n° 57).

Bain de lumière.

« HDR », voilà les trois lettres magiques qui permettent à l’écran du Steam Deck OLED de tant briller (au propre comme au figuré). Grâce à un prodigieux tour de passe-passe réalisé au sein du compositor Gamescope*, les jeux compatibles exploitent sans aucune retenue toutes les capacités de l’afficheur, qui s’avèrent époustouflantes. Pic de luminosité à 1000 cd/m² avec gestion de l’ABL presque indiscernable ; couverture colorimétrique ultra large au point de dépasser sensiblement l’espace DCI-P3 ; color volume quasi parfaite puisqu’il s’agit d’une dalle RGB (et non WRGB comme la vaste majorité des téléviseurs et moniteurs OLED)… Si vous vous sentez largué, retenez simplement ceci : le Steam Deck affiche un meilleur HDR que mon propre écran OLED domestique de bourgeois d’esthète, qui, bien qu’il soit l’un des plus réputés du marché, plafonne à 650 cd/m² et 95 % de DCI-P3. Il ne fait strictement aucun doute que pour l’écrasante majorité de ses utilisateurs, le Steam Deck OLED saura procurer une expérience HDR incommensurablement supérieure à ce dont ils ont l’habitude sur leur écran de jeu classique. C’est un nouveau monde que ces gens-là découvriront en voyant un Cyberpunk 2077, un Hellblade, ou un Resident Evil 4 Remake s’affichant avec autant de vivacité et de relief.

* Regardez à ce sujet la présentation donnée par Joshua Ashton, développeur chez Valve, lors de la conférence XDC le 17 octobre 2023 : cpc.cx/Gamescope

Le Steam Deck OLED saura procurer une expérience HDR bien supérieure à ce que proposent la plupart des écrans de jeu classiques.

Astuce : en HDR, régler la luminosité à 75 % donne l’image la plus fidèle, suivant au plus proche la courbe EOTF « PQ » de référence.
Énorme bonbon pour les gros nerds du HDR tels que moi-même : Steam OS propose des outils de visualisation en temps réel (histogramme, heatmaps…) permettant d’analyser l’étalonnage de chaque jeu.
Parce qu’il faut bien tout de même trouver une raison de se plaindre, on déplore l’impossibilité d’ajuster le tone mapping de l’écran, qui écrête donc toutes les luminances au-dessus de 1000 cd/m² ; problématique sur les jeux qui ne permettent pas d’ajuster leur luminance maximale, par exemple Horizon Zero Dawn ou The Last of Us Part I, dont les cieux sont régulièrement « brûlés ». Et puis surtout, il arrive que des jeux ne reconnaissent pas le Steam Deck OLED comme compatible HDR ; je ne vous cacherai pas les déceptions immenses que j’ai pu ressentir en constatant que Dead Space Remake, Sea of Thieves, ou, pire encore, Tetris Effect ne me permettaient pas d’activer le HDR sur ce merveilleux écran. Mais je garde espoir : l’un comme l’autre de ces problèmes devraient pouvoir se régler par des mises à jour logicielles.

Génération 90's.

Après tout ça, on oublierait presque de mentionner que le nouvel écran gagne aussi une fréquence de rafraîchissement pouvant atteindre 90 Hz au maximum, et ajustable jusqu’à 45 Hz. L’intérêt n’est pas seulement de pouvoir jouer à 90 i/s aux jeux les moins gourmands – même si l’on ne boude pas son plaisir en pratiquant Ori and the Will of the Wisps à cette fréquence (c’est aussi d’ailleurs un jeu au HDR absolument somptueux, est-ce que je vous ai bien dit à quel point l’écran du Steam Deck OLED est incroyable en HDR ?). C’est aussi de pouvoir verrouiller le frame rate des jeux gourmands à des valeurs plus basses, tout en maintenant une fréquence de rafraîchissement qui corresponde à un multiple de cette valeur. Ainsi par exemple, un jeu verrouillé à 40 i/s peut être combiné à un rafraîchissement non pas à 40 Hz comme sur Steam Deck LCD, mais à 80 Hz ; il en résulte des saccades moins violentes lorsque le frame rate tombe en dessous de sa cible, et une latence à l’affichage sensiblement réduite. Évidemment, le mieux aurait encore été une compatibilité FreeSync/VRR, mais il n’en est rien. Allez, ce sera pour le refresh de l’an prochain.

Ori and the Will of the Wisps à 90 i/s en HDR sur Steam Deck OLED : un bonheur de tous les instants, et la heatmat de luminance est là pour le prouver. (© Microsoft)

Les reflets de la discorde

Comme le modèle LCD 512 Go avant lui, le Steam Deck OLED 1 To (celui que nous avons testé) voit son écran recouvert d’un verre micro-texturé « anti-reflet ». Il fait cependant un peu polémique, car certaines voix se sont élevées pour l’accuser d’abîmer les avantages de la technologie OLED, c’est-à-dire ses noirs d’encre et ses couleurs très saturées.

Passons rapidement sur la question des couleurs, puisque l’argument ne tient tout simplement pas debout du point de vue de la physique. Il sous-entend que la texture du verre empêcherait certaines longueurs d’onde de passer, ce qui n’a pas de sens. S’agissant des noirs en revanche, il y a un fond de vérité : la façon qu’a la micro-texture de diffuser la lumière incidente peut, dans certaines conditions très spécifiques, donner comme l’impression d’un léger voile surélevant les noirs. Difficile cependant d’affirmer que ce mal est vraiment pire que le côté « miroir » de l’écran du modèle 512 Go. Entre les deux, c’est avant tout la préférence personnelle qui doit dicter la décision (puisque même si l’on choisit le modèle 512 Go, il est toujours possible de remplacer le SSD, ce qui reviendra au même prix voire un peu moins cher que d’opter directement pour le modèle 1 To).

Sending out a Steam OS.

Le Steam Deck OLED arrive dans un contexte concurrentiel qui a bien changé depuis un an et demi, galvanisé justement par le succès du Steam Deck original. Sa principale rivale aujourd’hui s’appelle Asus ROG Ally, suivie de près par d’autres combattants plus ou moins sérieux (voir la page 67 de ce magazine). Leur point commun est de s’articuler autour de la fameuse puce AMD Ryzen Z1 Extreme que l’on mentionnait plus haut, à l’architecture bien plus moderne. Mais si cette dernière est effectivement sensiblement plus puissante dans l’absolu que la puce Van Gogh du Steam Deck, elle est en revanche bien moins efficace énergétiquement : ce n’est qu’en avalant 25 W ou plus qu’elle donne sa pleine mesure, avec les conséquences attendues sur l’autonomie de sa machine d’accueil. À 15 W comme le Steam Deck, elle perd déjà une bonne partie de son avance sur ce dernier ; et en dessous de cette valeur, elle s’effondre littéralement. De son côté, le Steam Deck reste capable de faire tourner des jeux anciens ou peu gourmands en se limitant à 12 W, 10 W, 7 W, parfois même moins que ça. Combiné à tout ce que l’on a dit plus à propos des avantages conférés par son nouvel APU en 6 nm, cela le place sur une échelle tout autre en matière de nomadisme. Alors d’accord, il ne saura pas faire tourner tous les gros AAA de la terre, et les choses n’iront pas en s’améliorant : on a abandonné avant même de la tester l’idée de jouer confortablement sur Steam Deck OLED à Alan Wake 2 ou Avatar: Frontiers of Pandora – et pas seulement parce qu’aucun de ces deux-là n’est disponible sur Steam. Tant pis, il n’est pas fait pour ça.

En parlant de Steam d’ailleurs : voilà un point qui restera jusqu’à nouvel ordre un élément différenciant d’ordre presque philosophique entre le Steam Deck et ses concurrents, eux qui ont pour l’instant tous choisi l’option Windows. L’avantage de cette option est évident : elle donne accès de facto à absolument tout le catalogue et surtout à toutes les boutiques de jeux PC existants. Le Steam Deck reste lui, comme son nom l’indique, 100 % fidèle à sa propre plateforme de distribution – oui, il est possible de passer par des solutions tierces comme Heroic pour accéder aux catalogues GOG et Epic Games Store notamment (encore que, c’est un bricolage qui, quoique tout à fait accessible, contredit l’objectif de Steam OS d’une UX simplifiée au maximum), mais d’autres plateformes, dont l’incontournable PC Game Pass, restent hors de portée. De l’autre côté, le fait pour le Steam Deck de s’appuyer sur un écosystème logiciel entièrement maîtrisé par Valve (ce qui ne l’empêche pas d’être libre) est une plus-value incontestable, parce qu’il s’accompagne d’un suivi d’une qualité proprement hallucinante depuis près de deux ans maintenant. Le poids de l’histoire joue en faveur de Valve, avec cette fameuse couche de compatibilité Proton qui s’améliore de jour en jour et qui, entre optimisations spécifiques et packs de shaders pré-compilés distribués via Steam, permet à certains jeux de tourner plus « proprement » sur Steam OS que sur Windows (Elden Ring, Stray, Final Fantasy VII Remake…).
La séance de jeu les pieds dans l’eau, qu’on soit bien d’accord, c’est à vos risques et périls. (© Valve)

Pouvoir d'attraction.

Alors voilà : au moment du choix, impossible de désigner « objectivement » un vainqueur entre Steam Deck OLED et Asus ROG Ally, chacun ayant ses arguments que l’autre n’a pas, arguments qui pèseront différemment sur la décision en fonction des scénarios d’usage de tout un chacun. Mais puisque la raison ne peut plus m’aider, c’est le cœur qui me pousse à attribuer la victoire au Steam Deck. Parce que c’est une machine avec laquelle j’ai l’impression que Valve s’adresse à moi, personnellement. Une machine qui a exaucé tous mes vœux, corrigé toutes les frustrations que je ressentais avec le Steam Deck originel, ces frustrations qu’y m’empêchaient d’y voir plus qu’un prototype, certes prometteur, mais encore loin d’être prêt à changer mes habitudes de jeu. Parce que c’est une machine bien plus facile à emmener à peu près partout avec soi, et parce que le pouvoir d’attraction de cet écran m’est parfaitement irrésistible, voilà que oui, maintenant, j’ai bel et bien envie de l’utiliser tous les jours ou presque. Tout bonnement inespéré.

Notre avis

Furolith le 2 décembre 2023

| Modifié le le 1 juin 2024

La simple évolution vantée par le marketing s’avère une authentique révolution. C’est pas plutôt censé fonctionner dans l’autre sens, normalement ?