| Modifié le le 14 juin 2022
Tout le monde a son propre seuil de tolérance face à la mièvrerie. Prenez par exemple Kahn Lusth, qui a réussi à placer le mot « tronçonneuse » dans son test d'un jeu aussi inoffensif que Haven, ou Noël Malware, dont les yeux s’embuent de larmes dès qu’il évoque la relation entre Cloud et Aeris dans FFVII. De mon côté, je peux apprécier sans problème une histoire d’amour niaise pour peu qu’elle me procure un peu d’émotion ou de divertissement, et je viens tout juste de découvrir que mon seuil de tolérance s’arrêtait à Maquette.