L'an 2000. Des jours étranges, comme l'avait prédit Kathryn Bigelow, et paradoxaux. Nous sommes trois ans avant le premier Call of, et le jeu vidéo n'a pas encore sombré dans son obsession malsaine pour les flingues et la chose militaire (Kathryn Bigelow non plus, mais c'est un autre sujet). Pourtant, la panique morale au sujet de la violence des jeux atteint des sommets historiques. Et soudain, surgit face au vent un FPS bien fascisant.